Togo
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Législatives - 14 Oct. 07
Description du système électoral
(par courtoisie du guide des élections - IFES)Le président est élu au suffrage universel pour un mandat de 5ans. A l'assemblée nationale siègent 81 membres élus par vote populaire pour un mandat de 5 ans.
Le système électoral togolais
(par courtoisie de International
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Système électoral pour la législature nationale | TRS |
Type | Plurality/Majority |
Tiers | 1 |
Taille de la législature(élus par vote direct, membres votants) | 81, 81 |
Système électoral pour l'élection du président | TRS |
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Le scrutin le plus récent
(par courtoisie de Wikipédia)
Le 26 avril 2005, la Commission électorale nationale et indépendante (CENI) proclame les résultats de l’élection présidentielle du 24 avril. Faure Gnassingbé, remporte l’élection avec 60,22% des suffrages devant Emmanuel Bob Akitani avec 38,19 % et Harry Olympio avec 0,55 %. L’opposition et le RPT s’accusent mutuellement de manipulations et de fraudes. La France, très impliquée dans les événements du Togo, juge que le scrutin s’est déroulé dans des conditions acceptables même s’il y a eu plus de 500 morts, 10 000 blessés et 30 000 réfugiés. La Commission européenne, malgré un rapport confidentiel accréditant l’existence de fraudes massives de la part du pouvoir, a pris acte de l’élection de Faure Gnassingbe. Le parlement européen a voté une résolution de non-reconnaissance de Faure Gnassigbé comme président élu du Togo.
Le 8 juin 2005, Edem Kodjo, président de la Convergence patriotique panafricaine (CPP, opposition modérée), est nommé Premier ministre. Il est chargé de constituer un gouvernement d’union nationale.
Amnesty International publie en juillet 2005, un rapport dénonçant selon ses propres termes « un scrutin entaché d’irrégularités et de graves violences » tout en montrant que « les forces de sécurité togolaises aidées par des milices proches du parti au pouvoir (le Rassemblement du peuple togolais (RPT)) s’en sont violemment prises à des opposants présumés ou à de simples citoyens en ayant recours à un usage systématique de la violence. » Le rapport reproche aussi à la France son rôle ambigu dans la situation actuelle.
Les violences suites aux événements politiques de 2005 auraient entraîné entre 400 et 500 morts. Certains parlent même de plus de 800 victimes.