Tout OGE est responsable de façon formelle et informelle devant le public en général ainsi que devant des parties prenantes spécifiques.
La responsabilité de l’OGE prend principalement trois formes :
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la consultation et la communication (responsabilité informelle) grâce à des contacts réguliers avec les parties prenantes, à des procédures transparentes et à des comptes rendus réguliers;
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la responsabilité de performance (formelle) grâce à des rapports d’activité annuels ou postélectoraux, des audits et des évaluations présentés à l’assemblée législative ou au gouvernement et d’autres parties prenantes;
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la responsabilité financière (formelle) grâce à des rapports financiers et des audits présentés entre autres à l’assemblée législative ou au gouvernement, pour montrer comment les fonds octroyés à l’OGE ont été utilisés.
Les échanges réguliers entre l’OGE et ses parties prenantes permettent à ces dernières d’être au courant des activités de l’OGE et de lui transmettre directement leurs commentaires et leurs suggestions. Ces consultations peuvent être régulières ou liées à des scrutins, obligatoires ou facultatives, structurées ou informelles.
La responsabilité formelle et la responsabilité informelle sont toutes deux nécessaires et complémentaires. Ensemble, elles assurent que l’OGE est responsable devant ses parties prenantes pour l’observation des lois, la probité financière, ainsi que l’intégrité et l’efficacité de ses opérations.
L’OGE peut informer ses parties prenantes et entretenir leur loyauté de façon relativement peu coûteuse par un effort soutenu de dialogue et de communication ouverte sous la forme de rapports annuels, rapports sur les élections, rapports financiers et bulletins. Par exemple, les publications peuvent être distribuées à l’occasion de rencontres d’information auxquelles les parties prenantes sont invitées.